Même si la façade est ancienne , il s'agit d'un fast food !

J'adore la fabrique de pâtes alimentaires !

Un hôtel cossu où tous les détails sont soigneusement nettoyés !

Nous voici devant l'entrée du célèbre marché : la Boqueira.  Passons sous le vitrail moderne et entrons.

Si l'on commence par les gourmandises, je sens que je vais aimer !

Le rayon des fruits et légumes est bien achalandé pour la saison !

Quelle variété. Les barcelonais n'ont que l'embarras du choix ! Je salive devant ces énormes cerises mûres à point !

Le poisson tout frais sorti de la mer ...

Là ce n'est pas le moment de faire tomber l'étalage : rien que des oeufs !

Encore des fruits et légumes...c'est que je commence à avoir faim moi !

Les étals de viande ne sont pas très nombreux mais celui-ci propose des jambons Serrano et surtout le Pata Negra !

Il est temps pour moi de sortir : je ne résiste plus !

Près de là se trouve l'église Betlem à la façade baroque. Elle fut commencée en 1681. L'intérieur de l'église a brûlé pendant la guerre civile de 1936.

Cette église est le coeur des bâtiments occupés par les Jésuites jusqu'à leur expulsion en 1767.

Les peintres et caricaturistes sont plus nombreux que lors de notre arrivée.

Les statues vivantes aussi.

Fin janvier pas de fleuriste ni de marchands d'oiseaux.

Celui-ci n'avait apporté que le nécessaire pour les soigner !

Et nous arrivons à la fin de la Rambla. La colonne de Ch. Colomb est toute proche

Les statues qui ornent le socle de la colonne sont fort jolies.

Tiens, voilà la cabine du téléphérique qui passe...

Sur la petite place où nous devons attendre la navette pour retourner au bateau, ces arceaux en guise de sculpture.

Au fond; le grand bâtiment blanc est l'Eurostars Grand Marina 5* sous les fenêtres duquel les paquebots venaient s'amarrer avant que ne soit construite, bien plus loin, la gare maritime .

Cette fois notre escale à Barcelone est bien finie. La navette nous a déposés et nous traversons la gare maritime ...

Ce fut l'agréable surprise de notre retour.

Les amandiers sont en pleine floraison

Certains sont roses d'autres blancs : serait-ce ce qui permet de reconnaître les amandes amères ?

Tout le long de la petite route de campagne ils se dressent tels de gros bouquets en offrande au prochain printemps.

Certains sont plus tardifs !

Ils égaient ce paysagne de vigne retaillée . Au loin la ville de Narbonne.

Les fleurettes sont très ouvertes depuis un moment déjà. Au prochain coup de vent

elles parsèmeront le sol... Des rameaux portent encore des amandes de l'an dernier !

Derrière l'amandier ce sont les clochers de la cathédrale de Narbonne

Je ne me lasse pas d'admirer ces éphémères bouquets.

Hééééé !  Reviens !!!!

Le bus Costa vient nous chercher à Nice pour nous emmener à Savone où nous attend le Serena. Une fois les formalités d'embarquement remplies : photo d'identification et empreinte de carte bancaire, nous nous débarassons de nos bagages à main dans notre cabine pour vite aller sur le pont supérieur. De là nous découvrons Savone : vue sur  le port .

Juste devant nous la tour de l'horloge appelée tour Léon Pancaldo en l'honneur du marin qui navigua avec Magellan lors de son premier voyage.

Cette tour porte aussi le nom de Torretta. Elle est le symbole de la ville de Savone.

Le centre ville comporte quelques beaux immeubles.

Mais il va être temps pour nous de quitter le pont : sept coups brefs suivis d'un coup long viennent de retentir , c'est l'alerte !

Nous devons vite récupérer nos gilets de sauvetage et les enfiler pour assister obligatoirement ( il y a des contrôles ) à la simulation d'abandon du navire en cas de danger. Voyez l'enthousiasme des  participants !

Lorsque nous pouvons enfin revenir sur le pont, la nuit est installée et le port brille de tous ses feux.

Le lendemain matin les côtes espagnoles se dessinent sous nos yeux.

La ville de Barcelone est devant nous ! Nous apercevons l'imposante structure de la Sagrada Familia .

Depuis notre balcon nous nous amusons à situer les différents édifices de la ville.

Au milieu de la seconde photo le gratte ciel Torre Agbar , oeuvre de Jean Nouvel , qui vient d'être acheté en novembre 2013 par la chaîne hôtelière Hyatt . Il sera transformé en hôtel de luxe.

Mais voilà le pilote de Barcelone qui arrive pour diriger à bord le processus d'amarrage.

Le quai qui nous est destiné est devant nous. Fini le temps où nous débarquions sous les fenêtres du bel hôtel des congrès, près de la statue de Christophe Colomb ! Nous sommes loin de la ville et il nous faut acheter un ticket de bus ( 6 € par personne ) pour aller jusqu'à la statue de Colomb !

Je ne pouvais pas passer deux jours à Lisbonne sans regoûter ces délicieux petits flans.

Je me suis donc dirigée vers la célèbre fabrique de Bélem où se trouvent les plus fameux

pastéis de Lisbonne. Sauf que l'interminable queue qui s'allongeait sur le trottoir m'a coupé l'appétit !

J'ai préféré me perdre dans les charmantes ruelles pentues de l'Alfama , croisant parfois le tram 28 que les côtes raides n'effraient pas. Mais arrive le moment où il fait soif et où on a envie de se poser un instant. Nous sommes près de l'église Santa Luzia, nous avons vu le jardin de Julio de Castilho et et contemplé les toits de l'Alfama depuis le belvédère. Je repère une terrasse de restaurant qui ne semble attirer que les portugais. En effet le patron est tout surpris de recevoir des" touristes venus du gros bateau "! Après avoir commandé un rafraîchissement, je lui demande si nous pouvons avoir en dessert la célèbre pâtisserie de Lisbonne. Le patron parle un tout petit peu le français et m'explique que la boutique que nous apercevons de l'autre côté de la rue Limoeiro en vend de délicieuses. Après l'avoir remercié nous traversons la rue et nous nous dirigeons vers la pâtisserie dont la façade ne paie vraiment pas de mine. A l'intérieur un petit comptoir réfrigéré où je vois les tartelettes tant convoitées. Dans la salle minuscule 4 tables dont une libre. Nous nous installons ...enfin je me relève pour expliquer par gestes ce que nous voulons. Je n'ai pas à insister beaucoup , par gestes lui aussi, le commerçant m'explique que le restaurateur l'a prévenu par téléphone de notre venue !

Il nous apporte cérémonieusement nos deux pastéis de Nata légèrement tiédes et dépose à côté de nos assiettes de la cannelle et du sucre glace en nous faisant comprendre que nous devions saupoudrer à notre convenance. Elles étaient délicieuses et j'en fis part au patron en payant . Avec un large sourire il nous informa que c'était sa femme qui était aux fourneaux et il alla la chercher pour nous la présenter fièrement.

Nous avons mangé ce jour-là l'un des meilleurs goûters de notre vie ...pour 2,20 €