Nous sommes de retour à Buenos Aires. Nous retrouvons la grande ville, ses artères et sa circulation.
Là aussi les panneaux publicitaires géants ont envahi la ville.
Nous voici dans le quartier de la Recoleta, d'architecture européenne. C'est en 1871 que la fièvre jaune s'abattit sur Buenos Aires. Les classes aisées qui vivaient dans le sud de la ville s'installèrent alors au nord de la ville , à la Recoleta où les terrains surélevés réduisaient la présences des insectes responsables de la maladie
Impressionnant hévéa géant protégé par des grilles.
Oh ! Un "dog-sitter" chargé de la promenade en choeur de des chiens du quartier .
Le cimetière de la Recoleta nous a été présenté comme étant le cimetière de l'aristocratie. Après la crise financière qui avait touché ce pays, certains monuments n'étaient plus entretenus. Mais beaucoup gardent fière allule.
Nous sommes passés devant la tombe de Eva Péron ( cf photo ) ou encore des parents du Ché Guevara......
Nous partons ensuite pour Tigre. C'est une ville de la province de Buenos Aires, à l'extrêmité sud du delta du Rio Parana. Ce nom lui fut donné par le premiers colons européens qui appelaient "tigre" le jaguar d'Amérique du sud.
Cette ville, située à 1h de route de Buenos Aires, est une Venise verte. Nous ferons donc sa visite à bord d'un bateau.
Tout le long : des villas, dont certaines sont très jolies.
Presque toutes les villas ont un embarcadère qui sert aussi de point de départ pour les baignades. Des personnes y vivent à l'année, il y a même des élevages de bovins et de chevaux. Mais c'est aussi un lieu de villégiature pour les WE ou plus.
Les denrées alimentaires et les boissons arrivent par bateau-marché !
Voici le restaurant où nous allons déjeuner : "la chat blanc" ...et il y avait effectivement un chat blanc !
Le jardin du restaurant esr superbe et il fait bon s'y promener après le repas.
La fleur de bananier est la promesse dun beau régime...de bananes !
Nous reprenons la croisière : le bras du delta du Parana est très large....on peut donc y faire demi tour sans problème.
Nous croisons même un bateau à aube .
Revenu sur la terre ferme et à Buenos Aires nous rencontrons un rond-point au monument travaillé.
Au fond de la rue, l'Obélisque.
Nous décidons d'aller voir le zoo de Buenos Aires. Il est très bien tenu et comme dans beaucoup de zoos du monde nous passons devant l'ours polaire, le jaguar, les éléphants....avant de nous arrêter devant ces bisons.
Des lamas...le petit blanc nous a offert un superbe spectacle de rebellion, refusant à grands renforts de cris stridents de quitter son enclos pour gagner celui qui lui était destiné. Le soigneur a eu fort à faire...et nous ne savons toujours pas s'il est parvenu à ses fins !
Nonchalamment allongé sur l'herbe, un mara se repose. C'est le grand lièvre de Patagonie. Il reste toute sa vie en couple monogame.
Le condor qui se fait sécher les ailes au soleil après le bain.
Il faut reprendre à regret la route de l'aéroport...L'heure du retour vers Paris est arrivé !
Mais pas question de vous laisser quitter Buenos Aires sans quelques pas de TANGO !
C'est fini....snifffffffffff