Le bus nous dépose sur une vaste place au fond de laquelle se dressse la cathédrale St Mungo. Le guide nous dit de vite y pénétrer car un grand mariage est sur le point d'y être célébré ...La cathédrale date du XIIème siècle, elle est de style gothique.
Nous pénétrons dans la nef où la grandeur des lieux impose !
Les vitraux sont très beaux....impossible de les photographier tous car le service de protocole pour le mariage est en action !
Il va falloir passer sous le jubé pour aller voir le choeur.
Je retrouve là aussi un plafond en bois. Le bois est un matériau abondant en Ecosse.
J'aime beaucoup la simplicité du maître-autel dans son décor grandiose !
Cet écusson porte les symboles des 4 miracles de St Mungo, le protecteur de la ville.
Nous y voyons le saumon à la bague, l'arbre, la cloche et l'oiseau.
Deux orgues sont face à face au-dessus du jubé.
De chaque côté de la nef se trouvent d'autres chapelles latérales très jolies...
Il nous faut vite descendre à la crypte ! Impressionnant de penser qu'elle soutient la cathédrale
C'est dans la crypte que se trouve le tombeau de St Mungo.
Le temps de voir un vitrail...
Il nous faut vite remonter au rez de chaussée.
Les organisateurs sont sur les dents...
Car déjà la mariée, au bras de son père, s'avance dans la nef !
Nous sortons pour ne pas perturber la cérémonie. A l'extérieur, les véhicules ayant amené les mariés sont garés ! Ils ont fait les choses en grand !
Les musiciens traditionnels sont là aussi !
La flèche de la cathédrale est surmontée du coq-girouette .
Derrière la cathédrale la nécropole contient de vieilles tombes intéressantes.
Les lampadaires de la ville portent eux aussi les 4 symboles des miracles de St Mungo.
La statue de la reine Victoria.
Une pierre marque le passage du prince Charles, avec les deux titres qui lui sont attribués.
Avant de quitter la place, je suis tombée admirative devant cette grille qui marque l'entrée d'un centre dédié aux arts pour jeunes et adultes.
Il y a encore beaucoup à voir sur cette place dont un petit musée. Quand je vous dis qu'il faudra que j'y revienne !