24 avril 2018
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Nous commençons par les passerelles supérieures . De là nous voyons régulièrement tomber des blocs de glace.
Nous avons une vue d'ensemble sur le dessus extrêmement craquelé du glacier. En bas de la photo il est possible de deviner les touristes sur les passerelles du bas. Attention aux éclaboussures !
La glace du front porte des traces noires dues aux moraines. Par endroit la glace est d'un beau bleu tendre. L'aspect du front glaciaire est tourmenté ! . Faire une balade sur le glacier demande une grande connaissance des expéditions glaciaires .
Le front devant lequel nous étions un peu plus tôt continue à subir des effondrements bruyants .
Nous sommes sur la passerelle qui va sur le côté du glacier.
Nous constatons qu'il est possible de voir la poussée que subit le front du glacier. Pas étonnant qu'il avance de 2m par jour.
Pas besoin de nous en dire plus : nous sommes bien convaincus que le Perito Moreno est un glacier vivant !
Les passerelles nous ramènent face au glacier . Nous regardons une fois encore sa profondeur ...15 km de long sur 5 km de large sur une profondeur de 170 m : cela en fait de la glace qui pousse !
Avant de prendre le bus qui nous ramènera à El Calafate je m'arrête devant les plans .
El Calafate est une petite ville située près de la rive sud du lac Argentino . C'est la porte d'entrée au parc des glaciers.
Des petits cours d'eau coulent tout autour, se dirigeant vers le lac.
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22 avril 2018
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Notre surprise fut grande en arrivant à El Calafate de voir notre petit groupe partagé en groupes de six personnes pour être répartis dans des hôtels différents . Les hôtels sont en effet de petites structures qui ne disposent que de quelques chambres. Nous avons été logés dans l'hôtel Los Barrancos . Idéalement situé au bord du lac Argentino il nous a comblés !
Le petit salon -coin lecture était un endroit où il était bon se retrouver et discuter de notre journée.
Dans un coin l'ancien feu à bois montre comment ils se chauffaient autrefois. Les portes des WC sont joliment illustrées : pas moyen de se tromper !
Il n'y a pas de restaurant. L'hôtel ne sert que les petits déjeuners. La salle à manger est toute en longueur et les petites tables sont recouvertes de nappes en tissu. C'est une ambiance très agréable.
La chambre est spartiate et n'offre que le nécessaire , par contre la literie est propre et très confortable. Pas de téléphone et pas de téléviseur. La petite salle de bain ( que j'ai oublié de photographier ) est moderne et bien équipée . Un bon souvenir !
C'est avec regret que nous lançons un dernier regard vers le lac Argentino ! Mais il est l'heure de nous diriger vers l'aéroport !
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18 avril 2018
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La journée est consacrée à naviguer sur le lac Argentino . El Calafate est sur la rive sud du lac ( nous l'apercevions depuis l'hôtel ) Il est situé à 187 m d'altitude , c'est le plus grand lac de Patagonie avec ses 1466 km²de surface.
Très vite notre bateau croise des monstres de glace . Ces icebergs viennent des glaciers qui plongent directement dans ses eaux. Pour aller les admirer sur le pont, mieux vaut être bien couverts !
Nous passons devant le glacier Upsala un géant qui subit un recul impressionnant de son front glaciaire. Son front est de 7 km , c'est le plus grand : réchauffement climatique ? Sur la paroi rocheuse on peut voir les filets d'eau qui sortent du glacier pour tomber dans le lac.
Un glacier vigoureux celui-là : le Spegazzini . Si sa surface est plus modeste que celles du Perito Moreno et de l'Upsala , il possède le front glaciaire le plus élevé : 130 m !
Nous sommes partis de El Calafate sous le soleil mais une fois sur le lac la brume s'est installée. Nous voguons dans une étrange beauté irréelle : un autre monde ! Les eaux sont d'un bleu laiteux tirant sur turquoise.
Nous passons devant le Perito Moreno dont je vous ai déjà longuement parlé .
Sur les falaises rocheuses qui tombent dans le lac, les filets d'eau venant des glaciers continuent de couler, assurant le niveau du lac.
Notre bateau doit jouer avec les icebergs très nombreux. La teinte de leur glace est différente selon leur âge.
Le bateau nous dépose au fond de la baie Onelli.
Une promenade à pied nous est proposée dans la forêt qui couvre ce coin de Patagonie. Les arbres sont typiques de la région : des nires, des canneliers et des lengas ( hêtres de la Terre de Feu ). Les arbres couchés et cassés témoignent des rigueurs du climat qui règne là . Nous n'avons fort heureusement pas rencontré de vaches sauvages. Les fermiers avaient été expulsés et avaient laissé leur bétail à l'abandon.
Nous revenons vers le bras du lac au fond duquel est amarré notre bateau .
Le retour se fera en évitant soigneusement les icebergs.
Alors que nous nous approchons de El Calafate afin de regagner notre petit hôtel, nous apercevons derrière nous un autre bateau qui rentre aussi : c'est l'heure !
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17 avril 2018
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Une hacienda est une exploitation agricole. L'estancia est consacrée à l'élevage des bovins et des ovins dans la pampa . En arrivant nous voyons les barrière de larges enclos destinés à contenir le bétail.
Le drapeau argentin flotte au dessus d'un vieux chariot
A l'intérieur des bâtiments un asado est installé et les agneaux grillent.
Le délicieux repas a lieu dans la grande salle à manger. Au moment du café, des gâteaux à volonté sont offerts accompagnés de diverses confitures.
Après le repas nous sommes conviés à assister à la tonte d'un mouton. L'ouvrier est un expert qui allie rapidité et soin : la laine est de bonne tenue.
Nous nous retrouvons en plein air dans une prairie pour assister au travail du chien de berger. Premier travail : rassembler le troupeau.
Les moutons se retrouvent bientôt en file indienne devant le berger !
Du haut de son cheval un gaucho surveille les opérations.
L'exercice du passage du pont se fait sans encombre !
Tout contents, le berger et son chien ramènent le troupeau à la bergerie.
Sur la pente, le gaucho se détache fièrement sur l'horizon . C'est une des qualités des gauchos : la fierté !
Il nous mène jusqu'à ses chevaux qui attendent les touristes pour une balade dans la pampa. Heu, non merci, pas pour moi...et je ne suis pas la seule à préférer la marche à pied ! Ceux qui y sont allés sont revenus enchantés !
Mes pas nous conduisent au bord d'un petit lac sur lequel voguent des oies et un cygne.
Nous sommes surpris de trouver un sable blond très fin . J'en ai ramené un tout petit flacon !
En fait l'océan n'est vraiment pas loin !
Profiter de ce moment pour laisser errer son regard sur le paysage de pampa, écouter le silence et surtout respirer à plein poumons . Un réel moment de bonheur. je comprends mieux le gaucho qui m'a dit ne pas vouloir partir de ces lieux pour rien au monde !
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11 avril 2018
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A 2h de El Calafate où nous logeons nous arrivons devant le Perito Moreno ce mythique glacier de 15 km de long dont le front glaciaire mesure 5km
Il se situe dans le parc national Los Glaciares de la province de santa Cruz , à 78 km de El Calafate. C'est l'un des trois seuls glaciers qui ne reculent pas !
Nous embarquons afin d'aller au plus près de cette falaise de glace qui domine à 60 m , parfois 74 m !
Nous nous approchons et des craquements sont nettement entendus jusqu'à ce qu'un bloc de glace tombe à l'eau avec un bruit comparable à un bon gros coup de tonnerre !
Une fois libéré le bloc de glace flotte devenant un iceberg !
Un autre effondrement a eu lieu . Le glacier avance d'environ 2 m par jour .
Les fissures sont nettement visibles. Le glacier a une hauteur moyenne de 170 m dont 60 à 74 m sont émergés.
Le reste de la croisière se fait au milieu des blocs de glace qui parsèment de plus en plus le lac.
D'autres effondrements étant annoncés, le bateau décide de regagner l'embarcadère car l'embarcation tangue grave quand la glace tombe à l'eau.
Une fois revenus à terre nous dominons le glacier et on le voit qui s'enfonce à l'horizon. Il est possible d'aller sur le glacier avec un guide. Dans le prix de la course les crampons pour les chaussures sont compris ! Mais j'ai préféré choisir la sécurité des passerelles qui permettent d'approcher le glacier.
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10 avril 2018
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Je n'ai pas voulu prendre le train du bout du monde, préférant découvrir a pied cette terre australe. La Terre de Feu est la plus grande île de l'archipel situé à l'extrême sud du continent sud américain . Elle est divisée entre le Chili et l'Argentine.
Randonner dans le Parc National est très réglementé. Impossible de décider s'y rendre seul et découvrir à son gré. Nous devons être accompagnés par un guide agréé !
La première curiosité fut cet arbre couvert d'oiseaux : des conures magellaniques.
Ce fut bientôt au tour d'un imposant barrage de nous étonner . Ce sont les castors qui construisent des ouvrages remarquables .
Les castors n'hésitent pas à s'attaquer aux troncs d'arbres . Beau travail , j'aurais juré que c'était un bûcheron qui avait fait les entailles ! D'ailleurs il est question de campagnes de contrôle et de régularisation de la population des castors. Ils sont en effet plus nombreux que les hommes en Terre de Feu et dévastent les forêts qui ne repoussent que très lentement. Venus du Canada, ils avaient été introduits en Terre de Feu en 1946, pour leur fourrure. Or ils n'ont aucun prédateur ( ni loup ni ours ) et leur fourrure s'avère inutilisable !
Ce panneau signale la fin de la route n° 3 . Cette route nationale argentine n° 3 unit Buenos Aires à la Terre de Feu sur 3074 km.
La Terre de Feu est une île, l'océan n'est jamais loin . De plus elle est sillonnée de canaux . Les paysages sont fabuleux et la lumière y est comme nulle part ailleurs !
Au sortir de la forêt, nous arrivons sur une plaine dominée par des sommets encore porteurs de neige. Au sol les lupins : j'ai pris cette photo qui me plait tant que j'en ai fait la bannière de mon blog !
Nous avons la possibilité de visiter un élevage de chiens husky. Les chiots étaient de vraies peluches qui se laissaient caresser et nous léchaient les mains et même le visage si nous approchions un peu trop ! Petit bémol : voir les adultes enchaînés m'a fait mal au coeur .
Le sol est gorgé d'eau. Il y a de la tourbe dans les environs.
Nous reprenons la route qui nous ramène à Ushuaia .
Que pensez-vous de cette randonnée ? Est-ce ainsi que vous imaginiez la Terre de Feu ?
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4 avril 2018
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05:00
C'est au port d'Ushuaia que nous embarquons pour une croisière sur le Canal de Beagle.
Je suis prête pour l'aventure !
La première chose que l'on nous demande une fois installés à bord est de consulter la carte des naufrages ! Le canal de Beagle est en effet le plus grand cimetière de bateaux du monde ! Petit froid dans le dos mais quand il faut y aller ...
Le canal de Beagle relie l'océan Pacifique à l'océan Atlantique. Il fait 240 km de long et se situe à 150 km du Cap Horn. Le mieux est de prendre le premier bateau qui part à 9h30 pour éviter le vent glacial d'Ushuaia qui se lève en journée. Nous naviguons avec les monts chiliens en fond de décor.
A mesure que nous avançons le paysage change : tantôt sombre tantôt verdoyant.
Bientôt l'Isla de los Lobos est en vue. Nous ne tardons pas à voir qu'elle est occupée par une colonie de lions de mer.
Nous approchons du phare des éclaireurs. Il ne s'agit pas du phare du bout du monde dont parle Jules Verne, qui lui se trouve à l'Est de la Terre de Feu. Les bateaux se contentent souvent de le contourner mais il est possible d'aller plus loin car au delà se trouvent des colonies de manchots et beaucoup de carcasses de bateaux échoués. Je me contente de la petite croisière : 2h30 quand même !
Au retour nous voyons une colonie d'otaries . Une partie est dans l'eau et elles jouent comme des enfants !
Un énorme rocher semble être le lieu de rendez-vous des cormorans !
Bien qu'au grand air il devient difficile de respirer à pleins poumons ! La puanteur est incroyable ! ;Je suis en apnée ! ( rires ) Les cormorans ne semblent pas gênés et vivent là joyeusement !
Nous revoyons bientôt les monts chiliens !
Avant de rentrer dans le port d'Ushuaia , on nous parle du Saint Christopher . C'était un remorqueur de sauvetage qui a aidé plus d'un bateau en détresse avant de s'échouer à son tour. Il est devenu un monument de la ville !
Notre bateau ne s'est pas échoué et rentre sagement dans le port d'Ushuaia ! Une croisière mémorable : air vif, odeurs fortes et décors du bout du monde !
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3 avril 2018
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05:00
C'est en avion que nous sommes arrivés à Ushuaia la ville la plus australe de l'Argentine. La grande surprise fut d'y trouver un air à 13° alors que l'on nous avait dit qu'il y faisait 0° toute l'année ! Nous apercevons la neige sur les monts du Chili et l'entrée du canal de Beagle.
Nous gagnons notre hôtel perdu au milieu de nulle part en Terre de Feu mais doté de tout le confort .
Il a beau être plus de 23 h, je ne résiste pas au désir faire une promenade . L'air est vivifiant : je me régale ! Il fait encore si clair que je ne ressens pas la fatigue !
Lorsque le lendemain nous décidons de visiter la ville , c'est ce grand bâtiment au toit pointu qui nous attire . C'est la maison du gouvernement , ce qui correspond à notre mairie. Ce n'était à l'origine que la grande maison blanche du devant. Puis elle fut agrandie dans les années 70 avec l'édifice au toit pointu. La maison continue à servir à la municipalité.
Nous nous dirigeons vers le port. Parmi les bateaux amarrés là, certains proposent une croisière sur le canal de Beagle .
L'office du tourisme où ils mettent de jolis cachets sur les passeports !
La grand rue commerçante .
Nous arrivons à la gare du bout du monde ! Ushuaia fut longtemps la ville où étaient retenus les prisonniers et pour ne pas oublier cette époque les employés portent la tenue des bagnards.
Le train est là mais si certaines personnes de mon groupe le prennent moi j'ai opté pour une longue marche en Terre de Feu !
En ville nous avons trouvé la Poste. Elle aussi a une décoration qui rappelle l'époque des bagnards.
Impossible de se perdre : le monde est indiqué ! Mais tous ces panneaux indicateurs sont plus pour le fun que pour être utiles !
Ushuaia est la ville des lupins et des grosses marguerites : janvier est le mois des fleurs là-bas !
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29 mars 2018
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05:00
Nous reprenons la longue route droite au travers de la péninsule de Valdès .
Nous empruntons une piste sableuse ...
qui nous amène devant l'entrée de Punta Tombo . Qu'est-ce qui nous attend derrière cette entrée ?
Nous ne tardons pas à le savoir en voyant arriver , se dandinant, trois manchots de Magellan.
A cette période de l'année, janvier, les petits ont encore un reste de fourrure !
Je me dirige vers le bord de l'océan. Un groupe de manchots revient en file indienne. Ils sont allés pêcher au large et reviennent nourrir les petits.
Quand je vois tous les manchots du bord de l'océan je commence à croire le gardien de l'entrée qui a annoncé un million de manchots sur le site !
Chaque manchot suit imperturbablement le chemin qui mène à son nid. Un touriste a voulu se mettre devant l'un d'eux pour voir s'il allait contourner l'obstacle. Il était fort heureusement en jean car le manchot a attrapé le bas du pantalon de l'intrus et s'est mis à le secouer avec une force insoupçonnée. Le plaisantin a dû s'écarter et le manchot a continué sa route sans plus s'en occuper !
Le petit attend patiemment...pas de souci, voilà un des parents
Les manchots arrivent généralement en septembre afin de préparer l'arrivée des petits.
Si certains ont eu la bonne idée de nicher sous un arbuste pour être protégé des rayons du soleil, il n'en va pas de même pour tous !
L'immense terrain est souvent dépourvu de végétation et bien souvent le nid est un simple trou dans le sol, sans protection aucune ! Dur dur d'être un manchot !
Il nous a fallu reprendre à regret la route au milieu des steppes et pampas !
Une inscription sur un talus nous indique que nous arrivons dans une petite ville : Gaiman !
Les petites maisons de la ville intriguent : ce sont les maisons de émigrés gallois qui en 1865 sont arrivés en Patagonie afin de maintenir leur culture galloise menacée par les anglais et les écossais .
Nous ne tardons pas à découvrir la première maison construite par ces émigrés gallois . Elle fut occupée par la famille David Roberts.
La petite église protestante est charmante mais fermée !
Dans ce village perdu en Patagonie c'est un vrai plaisir que de savourer un vrai tea-time gallois ! Passer dans ce fief de la culture galloise en Argentine n'est pas banal !
En partant nous passerons près des rives du fleuve Rio Chubut . Enfin une végétation plus fournie le long de son cours !
La visite de la péninsule de Valdès vous a plu ? Connaissez-vous ? Qu'avez-vous préféré ?
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28 mars 2018
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05:00
Nous avons quitté Buenos Aires en avion pour atterrir dans le petit aéroport de Trelew.
Il semble perdu au milieu de nulle part.
Nous traversons en bus d'immenses étendues de steppes arides avec parfois une maigre végétation aux airs de pampa
La chance nous sourit : nous somme à côté d'un groupe de guanacos. Il s'agit de lamas non domestiqués. Le lama descend du guanaco tandis que l'alpaga descend de la vigogne, d'où la meilleure qualité du pelage. Chuttt pas un bruit sinon ils détalent !
L'océan Atlantique n'est jamais très loin !
Nous quittons la route goudronnée pour une piste sableuse !
Avant même de les avoir vus , la forte odeur nous avait prévenus de leur présence. Les otaries sont rassemblées au bord de l'océan : les naissances sont nombreuses. Les mâles à crinière ne sont pas les bienvenus car ils mangent les petits afin que la mère soit à nouveau disponible pour être à nouveau fécondée.
Il est l'heure pour nous d'aller déjeuner. Un agneau grillé nous attend. Pas la peine de demander un petit morceau, la part servie est pantagruélique ! Je suis obligée de reconnaître qu'il était particulièrement délicieux !
Après le repas nous continuons à explorer les environs . La péninsule de Valdès est une portion de terre reliée au continent par l'isthme Carlos Ameghino
Les bandes de terre sur l'eau sont jonchées de points . En approchant nous voyons que ce sont des animaux qui se dorent au soleil.
En approchant nous voyons des éléphants de mer venus eux aussi mettre bas au bord de l'océan. Parfois un même se redresse pour jeter un cri puissant.
Ils sont très occupés par les naissances et ne se soucient pas de nous.
Nous y étions en janvier.
Nous sommes repartis avec le sentiment d'avoir assisté à un spectacle grandiose et odorant
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